La nuit des morts vivants
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La nuit des morts vivants
Texte à rendre dans 2 semaines, presque finalisé.(Inspiré du jeu web hordes.fr, si vous connaissez, vous comprendrez mieux)
Je vais mourir. Ils vont dépasser nos défenses, nous ne pourrons pas leur résister...Laissez moi vous raconter mon histoire :
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes. On parlait alors de 3ème guerre mondiale, mais j’appellerais cela une « blitzkrieg ». Il avait suffi d’un mauvais dosage d’uranium pour que le monde soit dévasté par les bombes, ne laissant que quelques survivant. Il était submergé par le sable. Les cadavres revenaient à la vie à cause des radiations, mais sans âme : on les appelait des morts-vivants, ou zombis.
Je savais qu’un tel accident pouvait arriver, c’est pourquoi je m’étais caché dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eus la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe qui passait au dessus de mon abri. Ils passèrent et repassèrent toute la journée, et à partir de ce jour, je les entendis chaque nuit qui hurlait à la tombée de la nuit, j'en déduisis qu'ils avaient choisi ma maison comme repère. Tous les jours, il en venait de plus en plus, et je remarquai qu’ils se déplaçaient tous les soirs aux alentours de minuit. Je savais qu’il me fallait quitter l'abri au plus tôt, avant que cela me soit impossible, c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance, au moment où j'émergeais de ma cachette, ils semblaient dormir.
Une fois hors de danger, je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert. A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique. Je marchais nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord, je pensais à un mirage : j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle. Il s'agissait en vérité d’une espèce de ville entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte lorsqu’un homme surgit, me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement .L’homme paraissait nerveux : il me visa puis me tira dessus. Après quoi, il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient enduré long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux ou encore des lézards ayant des crocs de la taille d'une main. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Aussi, ils étaient plongés dans une sorte de léthargie pendant la journée, et ils ne la quittaient qu’à la nuit tombée. Par mesure de sécurité, avant chaque nuit, les animaux devaient être pourchassés et tués, pour éviter que l’un d’eux n'ait l’idée d'égorger quelqu'un. Chaque habitant avait son petit chez-soi, c'est à dire deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans grandes valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, des barricades de fortune étaient construites. Il nous fallait aller puiser l'eau dans un puits à moitié effondré.
Ma première journée se passa très bien, elle me permit de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on fit l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je ne savais pas si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, alors je posais la question à un homme qui avait l’air assez expérimenté. Il me répondit que non, qu’après leur passage,les zombis ne laissent rien derrière eux.
L’après midi, l’attaque que l’on avait estimé du haut du mirador construit le matin , était bien inférieure à nos défenses. Nous avions donc décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes. La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne. Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante prés des remparts. J’ai grimpé en haut des murailles, guetté l’avancée de la horde. Lorsque les portes se ferment, la ville sombre dans le silence. Je sentais mes paupières se fermer tout doucement, lorsque soudain, venu du désert, un son insolite me tira de mon sommeil. Quelqu’un chantait dehors. Pourtant…tout le monde était en ville.
Au petit matin, j'allai prendre une ration d’eau dans le puits et découvrais que nous étions au bout de nos réserves. J’'alertai mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut décrété : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau aux alentours. Les recherches furent infructueuses et ce fut le point de départ de tensions n’avaient jamais cessé. Au matin, certains parlaient de fuir, de quitter la ville avant midi avec des vivres pour une semaine de marcher environ. Un autre avait mangé un morceau de viande trouvé dans le désert et commençait à muter : ses yeux n’avaient plus rien d’humain, ses poils se hérissaient et il bavait lorsqu’il voyait quelqu’un saigner. On le laissa en paix jusqu’au moment où il dévora sa propre jambe. Il n’y avait pas de doutes, il représentait une menace pour notre petite population, alors nous l’avons jeté du haut des remparts. Les murs avaient besoin de réparation, le puit avait été agrandi à la dynamite, et avec toute cette agitation, nous avions oublié les barricades. Le mirador estimait une attaque de grande importance et nous ne pouvions plus rien faire, sauf prier pour notre vie...
Cette nuit là, j’entendis des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre à avoir survécu. Le chaos en pleine apocalypse ! J’avais trouvé un morceau de journal appartenant à un adolescent disparu pendant la nuit, il y avait écrit : « Ils ne savent pas encore. Non, ils ne savent pas encore. Ils entendent la horde qui arrive mais ils ne savent pas encore. Non, ils ne savent pas que j’ai dévissé les plaques du mur de derrière. ». Ainsi, nous aurions être bien plus nombreux à survivre ! Il avait suffi qu’un petit égoïste trop pessimiste pour que nous ayons perdu la quasi-totalité de la ville. J’ai espéré que là où il se trouvait, qu’il puisse être maudit pendant des siècles. Cette rage qui sommeillait en moi a explosé, et ne m’a pas quitté depuis lors. Chacun s’était cloisonné chez lui et personne n’osait sortir.
Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre. Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la Mort.
Ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire à la recherche de moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne vois que la Mort. La Mort, qui m'a si longtemps scruté depuis son antre, qui a attendu si longtemps à côté de mon lit que mon heure vienne, qui...Attendez!Je les entends, ils arrivent... J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. La mort n’est pas une fin, juste un commencement….
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse …
J’ai peur…
Je vais mourir. Ils vont dépasser nos défenses, nous ne pourrons pas leur résister...Laissez moi vous raconter mon histoire :
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes. On parlait alors de 3ème guerre mondiale, mais j’appellerais cela une « blitzkrieg ». Il avait suffi d’un mauvais dosage d’uranium pour que le monde soit dévasté par les bombes, ne laissant que quelques survivant. Il était submergé par le sable. Les cadavres revenaient à la vie à cause des radiations, mais sans âme : on les appelait des morts-vivants, ou zombis.
Je savais qu’un tel accident pouvait arriver, c’est pourquoi je m’étais caché dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eus la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe qui passait au dessus de mon abri. Ils passèrent et repassèrent toute la journée, et à partir de ce jour, je les entendis chaque nuit qui hurlait à la tombée de la nuit, j'en déduisis qu'ils avaient choisi ma maison comme repère. Tous les jours, il en venait de plus en plus, et je remarquai qu’ils se déplaçaient tous les soirs aux alentours de minuit. Je savais qu’il me fallait quitter l'abri au plus tôt, avant que cela me soit impossible, c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance, au moment où j'émergeais de ma cachette, ils semblaient dormir.
Une fois hors de danger, je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert. A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique. Je marchais nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord, je pensais à un mirage : j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle. Il s'agissait en vérité d’une espèce de ville entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte lorsqu’un homme surgit, me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement .L’homme paraissait nerveux : il me visa puis me tira dessus. Après quoi, il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient enduré long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux ou encore des lézards ayant des crocs de la taille d'une main. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Aussi, ils étaient plongés dans une sorte de léthargie pendant la journée, et ils ne la quittaient qu’à la nuit tombée. Par mesure de sécurité, avant chaque nuit, les animaux devaient être pourchassés et tués, pour éviter que l’un d’eux n'ait l’idée d'égorger quelqu'un. Chaque habitant avait son petit chez-soi, c'est à dire deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans grandes valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, des barricades de fortune étaient construites. Il nous fallait aller puiser l'eau dans un puits à moitié effondré.
Ma première journée se passa très bien, elle me permit de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on fit l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je ne savais pas si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, alors je posais la question à un homme qui avait l’air assez expérimenté. Il me répondit que non, qu’après leur passage,les zombis ne laissent rien derrière eux.
L’après midi, l’attaque que l’on avait estimé du haut du mirador construit le matin , était bien inférieure à nos défenses. Nous avions donc décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes. La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne. Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante prés des remparts. J’ai grimpé en haut des murailles, guetté l’avancée de la horde. Lorsque les portes se ferment, la ville sombre dans le silence. Je sentais mes paupières se fermer tout doucement, lorsque soudain, venu du désert, un son insolite me tira de mon sommeil. Quelqu’un chantait dehors. Pourtant…tout le monde était en ville.
Au petit matin, j'allai prendre une ration d’eau dans le puits et découvrais que nous étions au bout de nos réserves. J’'alertai mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut décrété : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau aux alentours. Les recherches furent infructueuses et ce fut le point de départ de tensions n’avaient jamais cessé. Au matin, certains parlaient de fuir, de quitter la ville avant midi avec des vivres pour une semaine de marcher environ. Un autre avait mangé un morceau de viande trouvé dans le désert et commençait à muter : ses yeux n’avaient plus rien d’humain, ses poils se hérissaient et il bavait lorsqu’il voyait quelqu’un saigner. On le laissa en paix jusqu’au moment où il dévora sa propre jambe. Il n’y avait pas de doutes, il représentait une menace pour notre petite population, alors nous l’avons jeté du haut des remparts. Les murs avaient besoin de réparation, le puit avait été agrandi à la dynamite, et avec toute cette agitation, nous avions oublié les barricades. Le mirador estimait une attaque de grande importance et nous ne pouvions plus rien faire, sauf prier pour notre vie...
Cette nuit là, j’entendis des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre à avoir survécu. Le chaos en pleine apocalypse ! J’avais trouvé un morceau de journal appartenant à un adolescent disparu pendant la nuit, il y avait écrit : « Ils ne savent pas encore. Non, ils ne savent pas encore. Ils entendent la horde qui arrive mais ils ne savent pas encore. Non, ils ne savent pas que j’ai dévissé les plaques du mur de derrière. ». Ainsi, nous aurions être bien plus nombreux à survivre ! Il avait suffi qu’un petit égoïste trop pessimiste pour que nous ayons perdu la quasi-totalité de la ville. J’ai espéré que là où il se trouvait, qu’il puisse être maudit pendant des siècles. Cette rage qui sommeillait en moi a explosé, et ne m’a pas quitté depuis lors. Chacun s’était cloisonné chez lui et personne n’osait sortir.
Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre. Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la Mort.
Ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire à la recherche de moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne vois que la Mort. La Mort, qui m'a si longtemps scruté depuis son antre, qui a attendu si longtemps à côté de mon lit que mon heure vienne, qui...Attendez!Je les entends, ils arrivent... J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. La mort n’est pas une fin, juste un commencement….
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse …
J’ai peur…
FIN
Dernière édition par Amonite, the old le Jeu 13 Nov 2008 - 13:46, édité 1 fois (Raison : ??????????????????)
Amonite, the old- Louveteau
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Date d'inscription : 09/11/2008
Re: La nuit des morts vivants
alors, dans un futur proche, y a eu une 3ème gurre mondiale russie/USA, des bombes atomiques ont été larguées, mais elle étaient mal dosées, alors ça a quasimment anéanti les humais, ils ne restait que queques survivants. Les radiaions ramenèrent le cadavres à la vie, et ça a fait des morts vivants.le héros a pu se réfugier dans un abri anti atomique, mais des zombis ont squatté au dessus de lui. Il s'est enfui et decouvre que le monde est recouvert de sable. Il marche, marche et marche juqu'à trouver un citadellle où se cachent les survivants
La ville est assiégée par les zombis, ils attaquent la nuit. Alors le jour, les habitants construisent des barricades pour se défendre.... les jours passent, mais à un moment ils n'ont plus d'eau et ils doivent en trouver, parce q'uil sont en polein désert.Ils ne font pas de barricades cette journée là mais ils ont estimé que l'attaque des zombis serait faible.Le lendemain, le héros se réveille, ils ne sont plus que 4 en ville, c'est un petit peureux qui s'est suicidé mais qui a entrainé la ville avec lui en faisant une breche dans un mur.Le héros attends les zombis, ils les entends arriver mais garde son calme, et son récit s'arrete là
Puis il dit qu'il est mort, et que quequechose rode et l'appelle, que tt est sombre autour de lui...il est terrorisé
La ville est assiégée par les zombis, ils attaquent la nuit. Alors le jour, les habitants construisent des barricades pour se défendre.... les jours passent, mais à un moment ils n'ont plus d'eau et ils doivent en trouver, parce q'uil sont en polein désert.Ils ne font pas de barricades cette journée là mais ils ont estimé que l'attaque des zombis serait faible.Le lendemain, le héros se réveille, ils ne sont plus que 4 en ville, c'est un petit peureux qui s'est suicidé mais qui a entrainé la ville avec lui en faisant une breche dans un mur.Le héros attends les zombis, ils les entends arriver mais garde son calme, et son récit s'arrete là
Puis il dit qu'il est mort, et que quequechose rode et l'appelle, que tt est sombre autour de lui...il est terrorisé
Amonite, the old- Louveteau
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Re: La nuit des morts vivants
ca pete mais tu as retaper tout ca lordi pour nous le montrer ?
mathiaas- Loup Bêta
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Re: La nuit des morts vivants
dsl, j'ai pas bien compris....
Amonite, the old- Louveteau
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Re: La nuit des morts vivants
tu as tout ecrit sur l'ordi pour nous montrer ou tu l'avais deja fait sur l'ordi et tu as fait copier/coller?
mathiaas- Loup Bêta
-
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Re: La nuit des morts vivants
ah non je l'avais déja copié (mais c'est de moi rien que de moi!)
Amonite, the old- Louveteau
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Date d'inscription : 09/11/2008
Re: La nuit des morts vivants
C'est une bonne histoire bien stressante ( regardez le film [ REC ] il est GeNiAl un peu comme ton histoire ) meme s'il y a quelque points bizarr ! On pourait avoir la vrai fin stp ?
Lyonnaisdebourg- Louveteau
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Date d'inscription : 06/11/2008
Re: La nuit des morts vivants
a oué tous le monde me parle de ce film faut je le voit
mathiaas- Loup Bêta
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Re: La nuit des morts vivants
Comment ça?c'est la vrai fin...
Amonite, the old- Louveteau
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